Un univers pas tout à fait préparé à ça voit jaillir Lydia Képinski dans le Mile End de 1993. Enfant unique, elle est élevée comme l’espoir de survivance de ses familles québécoises et polonaises par des parents timides, stupéfaits des surprises que réserve le brassage génétique.
Croisement génétique entre une pop mélodiquement accrocheuse et un folk aux racines americana. Le temps qui passe et les corps qui courbent s’imposent parmi les sujets au cœur de l’écriture de l’artiste, hanté par ces inépuisables sources de mots.