Comment vendre l'Abitibi-Témiscamingue ?


Louis Bourget d'Attractivité Abitibi-Témiscamingue (à gauche) discute avec le député d'Abitibi-Est, Pierre Dufour, lors d'un événement public à Val-d'Or. (François-Olivier Dénommé)

Alors que les élus municipaux des deux plus grandes villes de la région de l'Abitibi-Témiscamingue jonglent avec des patates chaudes, d'autres doivent tenter de vendre la région.

C'est notamment le cas de Attractivité de l'Abitibi-Témiscamingue.

L'organisme a comme mission d'accueillir et d'enraciner les personnes qui viennent vivre, travailler ou étudier ici.

Ces temps-ci, c'est cependant un beau défi.

Val-d'Or est aux prises avec un problème de délinquance au centre-ville alors que Rouyn-Noranda fait régulièrement la manchette pour la pollution de son air.

«La situation demande de s'en occuper. Un organisme comme le nôtre aura un rôle à jouer, on sera présent au besoin. Depuis quelques années, nous, comme d'autres organismes en région, on met beaucoup d'efforts dans l'attractivité, on ne veut pas que ce soit anéanti.»
Louis Bourget, président du conseil d'administration de Attractivité de l'Abitibi-Témiscamingue

Attractivité de l'Abitibi-Témiscamingue a un conseil d'administration de dix personnes, soit deux par MRC.  L'organisme est majoritairement financé par Tourisme Abitibi-Témiscamingue.