Un artiste jamaïcain poursuit Miley Cyrus et réclame 300 millions de dollars. Il affirme qu'elle lui aurait volé certaines paroles pour sa chanson We Can't Stop sortie en 2013.
Dans un des couplets, Miley Cyrus chante « We run things, things don't run we ». Flourgon, chanteur jamaïcain de dancehall, assure que la tournure des paroles a été volée de sa chanson de 1988 intitulée We Run Things où il chante « We run things, things no run we ».
Flourgon réclame 300 millions de dollars à Miley Cyrus, son label Sony et son équipe d'auteurs et de musiciens. Un prix qui dépasse la richesse estimée de la chanteuse.
Il explique que la chanteuse a construit sa carrière à partir de cette chanson, dont le clip a été vu plus de 800 millions de fois sur YouTube.
La plainte cherche aussi à empêcher Miley d'interpréter We Can't Stop en concert.